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John Birks «Dizzy» Gillespie était un musicien de jazz qui a lancé un nouveau style de musique jazz, connu sous le nom de bebop, dans les années 1940. Ce livre en anglais , écrit pour les jeunes, raconte la vie de Dizzy, en commençant par son enfance en Caroline du Sud, son déménagement à New York et ses éventuels voyages à travers le monde. Dizzy Gillespie est devenu bahá'í en 1968 et s'est efforcé d'être au service des autres grâce à son don unique en musique.

De nombreux bahá'ís connaissent le nom de John David Bosch ; cependant, jusqu'à présent, sa vie n'a pas fait l'objet d'une biographie complète. John et sa femme Louise sont peut-être mieux connus pour leurs efforts et leur générosité désintéressée dans la création d'une école bahá'íe dans le nord de la Californie. L'école, qui a ouvert ses portes en 1927 sur la propriété des Bosch à Geyserville, s'est développée en tant que centre d'apprentissage et a finalement déménagé à son emplacement actuel dans les montagnes au-dessus de Santa Cruz et a été nommée en leur honneur.

C'est l'histoire passionnante du sanctuaire au dôme doré du Bab, qui se dresse dans de magnifiques terrasses de jardin sur le mont Carmel à Haïfa, en Israël. Site du patrimoine mondial de l’UNESCO, le sanctuaire du Báb est un symbole de la foi bahá’íe, une religion mondiale qui envisage une société mondiale pacifique fondée sur le principe de l’unité de l’humanité.

Histoires étonnantes des chevaliers de Bahá'u'lláh, dont l'esprit indomptable, le courage et la fermeté ont porté le message bahá'í dans des pays où il était auparavant inconnu.

Ils venaient de plus de deux douzaines de pays dispersés sur la terre, représentant tous les continents ; 131 d'entre eux étaient des hommes et 126 des femmes. Le plus âgé a quitté son foyer à l'âge de 85 ans, tandis que le plus jeune n'avait pas plus de 14 ans. Ils ont enduré la solitude et fait des sacrifices, et ont ainsi vécu la plus grande aventure de leur vie.

Un regard fascinant sur la vie de Sara Louisa,Lady Blomfield,l'une des adeptes les plus distinguées de la foi bahá'íe, l'hôtesse de 'Abdu'l Bahá lors de ses visites historiques à Londres en 1911 et 1912-13 et la chroniqueuse de l'histoire bahá'íe dans son livre The Chosen Highway.

La vie de Sara Louisa, Lady Blomfield, s'étend sur l'une des périodes les plus passionnantes de l'histoire de l'humanité -la dernière moitié du XIXe siècle et la première moitié du XXe siècle- et sur les développements sociaux et politiques qui ont défini l'époque : le mouvement suffragiste, la montée de la pensée religieuse orientale, la théosophie et le spiritualisme en Europe,la Première Guerre mondiale,la modernisation.Elle a connu la pauvreté de l'Irlande rurale et le cérémonial de la cour royale à Londres.

Ce récit simple et émouvant relate les événements de la vie du Bab et de ses disciples, et illustre le caractère de la révélation bahá'íe en citant des passages des écrits de Bahá'u'lláh.

Révélée par Bahá'u'lláh à Adrianople et envoyée à Mírzá Ahmad Yazdí qui venait de Bagdad pour le voir, la Tablette d'Ahmad est l'une des prières identifiées par Shoghi Effendi comme ayant été investie d'une "puissance et d'une signification spéciales".

Les femmes du Moyen-Orient au XIXe siècle sont généralement absentes des pages de l'histoire.

Les femmes les plus proches des deux manifestations jumelles, le Báb et Bahá'u'lláh, sont particulièrement énigmatiques.

Comment étaient-elles lorsqu'elles étaient enfants ? Comment était-ce de vivre dans la famille de la Manifestation de Dieu ? Que pensaient-ils des nouvelles révélations de Dieu ? Comment ont-ils réagi aux souffrances et aux persécutions qui les ont frappés ?

Baharieh Ma'ani a décidé de remédier à cette situation. Sa tâche était immense.

Pendant deux décennies et demie, elle s'est efforcée de rassembler toutes les informations connues sur les femmes dont la vie a été mêlée à celle des manifestations de Dieu à cette époque - mères, épouses, sœurs, filles.

Les quelques jours du pèlerinage de Meherangiz Munsiff en 1953 ont défini le cours de sa vie et l'ont amenée à partir seule en pionnière à Madagascar et au Cameroun français, laissant sa famille à Londres. Elle sera par la suite nommée Chevalier de Bahá'u'lláh par Shoghi Effendi.

Cette expérience, au cours de laquelle elle s'est totalement appuyée sur la prière et la méditation l'a amenée à voyager par la suite dans plus de 147 pays : « J'ai décidé de créer un cours dont l'objectif était d'encourager tous ceux qui voulaient bien l'écouter à comprendre que nous, les êtres humains, sommes exclusivement capables de faire appel au pouvoir de la prière en vue de protéger et de servir l'humanité ». Son manuscrit sur la prière et la méditation constitue la deuxième partie de ce livre.

Ce titre raconte l'histoire du premier pèlerinage des bahá'ís occidentaux en Terre Sainte.

Avant tout, le pèlerinage Hearst offre un bref aperçu d'Abdu l-Bahá lui-même et de la patience et de l'amour avec lesquels il a guidé ces personnes venues d'Amérique et d'Europe, dont les origines religieuses et la culture ethnique étaient si différentes de celles de la plupart des croyants orientaux de l'époque. Les leçons qu'il a enseignées pendant cet hiver, les messages qu'il a transmis, résonnent encore aujourd'hui, car il voyait la fin dès le commencement. Ce n'étaient pas simplement quinze pèlerins, mais l'avant-garde de vagues de toute l'humanité. Leurs réalisations resteront une source d'inspiration pour toutes les générations futures.

Une collection unique de portraits  de chacune des 50 mains de la cause de Dieu, les «principaux intendants du Commonwealth embryonnaire mondial de Bahá’u’lláh».

Les premières mains de la cause de Dieu ont été nommées par Bahá’u’lláh. On leur a confié diverses responsabilités, en particulier la protection et la propagation de sa foi.

Ce livre en anglais rassemble des extraits de lettres et Écrits des figures centrales de la foi bahá’íe et de ses institutions. Il concerne les principes spirituels exprimés dans les paroles révélées de Bahá’u’lláh et qui doivent être appliqués aux problèmes et thèmes auxquels les bahá’ís et leurs communautés sont confrontés.