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May Bolles, première bahá’íe en France. Hippolyte Dreyfus, premier bahá’í français. Thomas Breakwell, premier bahá’í anglais.

May Bolles, première bahá’íe en France. Hippolyte Dreyfus, premier bahá’í français. Thomas Breakwell, premier bahá’í anglais.
La librairie bahá’íe a pour fonction première de faire connaître et de distribuer les ouvrages bahá’ís qui peuvent se classer selon leurs auteurs. On comprendra aisément qu’un texte révélé soit fondateur, alors qu’un ouvrage écrit par un individu ne soit qu’enrichissant. D’où l’intérêt de connaître l’origine des ouvrages que nous proposons :

A/ Les textes révélés.
La religion bahá’íe est une religion révélée dont le fondateur, Bahá’u’lláh (= la Gloire de Dieu) est considéré par ses disciples comme une Manifestation de Dieu au même titre que Khrishna, Moïse, Zoroastre, Bouddha, Jésus, Muhammad. Ces fondateurs de religions, dont la lignée se perd dans la nuit des temps, furent aussi des façonneurs de l’histoire humaine et des inspirateurs de civilisations dont la succession forme l’Histoire.
Nous nous contenterons ici de vous proposer les œuvres révélées de Bahá’u’lláh et par le Précurseur de sa révélation, le Báb.

B/ Les œuvres de ‘Abdu’l-Bahá.
Le concept d’Alliance qui est au cœur de la révélation bahá’íe s’incarne dans la personne de ‘Abdu’l-Bahá. Désigné, dans un testament écrit, comme chef de la communauté bahá’íe après le décès de Bahá’u’lláh, ‘Abdu’l-Bahá (= Serviteur de Bahá) est aussi vu comme l’exemple parfait, le modèle à imiter par les bahá’ís. Son rôle : assurer l’unité de la communauté bahá’íe par sa fonction d’interprète autorisé des textes. Libéré après quarante ans d’exils et d’emprisonnement, il put voyager en Europe et aux États-unis dans les premières années du vingtième siècle. Ses textes, ses nombreux discours et son abondante correspondance sont réunis dans plusieurs ouvrages dont un grand nombre est traduit en français.

C/ Les œuvres de Shoghi Effendi.
Shoghi Effendi, nommé par ‘Abdu’l-Bahá, lui succéda en tant que Gardien de la foi bahá’íe. Sa culture, tant orientale qu’occidentale, et son rôle d’interprète, lui permirent de développer une vision grandiose du futur de l’humanité. Ses œuvres historiques sont aussi une contribution majeure à la compréhension de la « planète bahá’íe ».

D/ La Maison universelle de justice.
Shoghi Effendi n’ayant pu désigner un successeur légitime, c’est le conseil élu indiqué par Bahá’u’lláh qui se trouve chargé de la protection de l’Alliance. La Maison universelle de justice, conseil de neuf membres résidant au centre mondial bahá’í, situé à Haïfa en Terre sainte publie régulièrement des textes directeurs en direction de la communauté des croyants.

E/ Ouvrages divers.
Œuvres d’auteurs divers, on trouvera aussi des livres sur l’histoire de cette religion, sur ses idées, sur sa vision du futur de l’être humain et l’organisation de la société. Des sujets aussi divers que l’écologie, l’égalité homme-femme, l’éducation, l’économie, les arts, le dialogue inter-religieux, la vie spirituelle, la théologie, la philosophie, ainsi que des livres pour enfants et des revues sont proposés.

F/ Compilations,
chaque titre indique clairement le sujet traité. Ces compilations sont, comme leur nom l’indique, un ensemble de différents textes tirés des écrits de Bahá’u’lláh et du Báb, de ‘Abdu’l-Bahá et de Shoghi Effendi, et enfin de la Maison universelle de justice. Ces extraits sont présentés tels quels, sans aucun travail éditorial de présentation ou d’indications sur les circonstances de leur rédaction. Ces compilations sont des instruments pour les bahá’ís qui y trouvent matière à enrichir leurs méditations et leurs réflexions sur les sujets qui les touchent.