Biographies, autobiographies, romans

La chronique de Nabil abrégée est une chronique profonde, émouvante et inspirante de la religion babi et des débuts de la religion bahá'íe. Shoghi Effendi en a recommandé l'étude dans les cours d'été et à d'autres occasions.

Pendant ces neuf années, Jináb-i-Khán (le titre par lequel le Dr Yúnis Afrukhtih a été honoré par Abdu'l-Bahá) a servi le Maître à 'Akká en tant que secrétaire, traducteur et médecin. Son récit des événements les plus importants de la période, ses portraits graphiques et émouvants de 'Abdu'l-Bahá, et la description de ses propres émotions - tous exprimés dans un langage vivant et parfois malicieux d'humour et d'esprit - font de ce volume un ouvrage unique et mémorable.

Cet important document historique a été décrit comme "prééminent parmi les ouvrages traitant de l'histoire de la rupture de l'Alliance". Il décrit également les pèlerinages à 'Akká de nombreux éminents bahá'ís occidentaux de la première heure, dont Thomas Breakwell, Hippolyte Dreyfus, Lua Getsinger et Laura Barney.

De 1948 jusqu'en 1968, Louis Hénuzet a été intiment associé aux activités bahá'ies en Belgique, même si à partir de 1952, il a  joué un certain rôle sur le plan européen. De 1968 à 2001, son activité se porte sur toute l'Europe. De ces années, il en  évoquera un tas de souvenirs avec souvent leur anecdote. Après 2001, sa vie bahá'ie a de nouveau changé, ce sera l'objet d'un dernier chapitre.

Mírzá 'Ali-Akbar-i-Nakhjavání est une biographie émouvante d'un croyant qui avait une relation personnelle avec' Abdu'l-Bahá. Mírzá 'Alí-Akbar  correspondit avec certaines des plus grandes figures littéraires de l'époque, notamment Léon Tolstoï. Akbar a également eu le grand honneur de voyager avec 'Abdu'l-Bahá dans le cadre de son voyage en Amérique du Nord en 1912.

1898. Le premier groupe de bahá'is occidentaux rencontre 'Abdu'l-Bahá en terre sainte.

Document historique , le récit personnel que nous fait , May Bolles Maxwell,  est aussi un témoignage émouvant de sa rencontre avec celui qui changera sa vie.

Ce livre raconte l'histoire bouleversante de Mona Mahmudnizhád, une jeune lycéenne qui faisait partie d'un groupe de plusieurs dizaines de bahá'is, comprenant des femmes adultes et plusieurs adolescentes. En 1982, ces bahá'is furent incarcérés pour motif religieux dans la ville iranienne de Chiráz par les autorités de la révolution islamique.

Ce livre décrit la vie de certaines femmes de la foi bahá'íe qui servirent la foi avec un grand enthousiasme, une activité jamais égalée. L'auteur traite de la vie de la plus sainte feuille 'Baha'iyeh Khanum'. Il traite également  la vie des femmes remarquables qui sont apparues en Occident au cours du ministère de 'Abdu'l-Bahá telles que : Martha Root, Dorethy Baker et  Amelia Colins.

Ces saynètes ont été écrites pour être jouées par des enfants de 6 à 12 ans, afin de les amuser et, en même temps, de leur fournir l'occasion de vivre des situations illustrant les principes essentiels d'une vie reliée harmonieusement à leurs semblables. Faisant parler des humains, des animaux, des choses, chaque saynète est une pièce de théâtre en miniature. Implicitement, ces saynètes suggèrent l'essentiel des droits de l'homme, sans les formuler explicitement.

Bahá'u'lláh, accompagné d'un serviteur, s'est rendu dans les montagnes du Kurdistan lorsqu'il était en exil en Irak. Il était connu par les habitants de Sulaymanieh comme le Darwish Mohammad. Lorsque les mystiques ont eu connaissance de sa présence dans leurs réunions, ils ont été émerveillés par ses discours et ses déclarations. Ils lui demandèrent un jour d'écrire un poème rimant avec la "Taeyat" d'Omar Ibn Al-Fared. Il répondit à leur demande et dicta pas moins de 2000 vers à la même rime d'Ibn Al-Fared. Il en a choisi 127 pour les conserver auprès des personnes qui ont demandé à les acquérir.
Bahá'u'lláh a ajouté les mêmes contenus et explications en persan et en arabe à certains des mots et des vers du poème.

Ce recueil de poèmes réunit les écrits de Mahvash Sabet, membre de la communauté bahá'ie d'Iran, qui fut condamnée en 2010, avec six de ses compagnons, à vingt ans d’emprisonnement pour seul motif d’être baha’ie.

Elle écrit des poèmes pour tenir debout, une façon de parfumer son pain quotidien au goût de camphre, pour s’exprimer quand il faut se taire, parler quand personne ne l’écoute.

Les femmes occidentales ont toujours été au premier rang de l'enseignement de la foi baha’ie. Ici se trouve un bref portrait de sept femmes dont les services à la cause de Baha’u’lláh embrassa tout le vingtième siècle. Emogene Hoagg, Claudia Coles, Anna Kunz, Amelia Collins, Kate Dwyer, Ella Bailey, Ella Quant ont voué leur vie à la promotion et au développement de la Foi qu’elles aimaient.

Aperçu la vie de 'Abdu'l-Bahá, compilé et traduit par Mustapha Mo'ayyad Sabri.

Une collection d'histoires de 'Abdu'l-Bahá mettant en lumière son caractère et ses actions qui peuvent guider les adultes et les jeunes dans leur vie quotidienne.