Réconcilier la science et la religion, n'est-ce pas le défi du XXIe siècle ?

"L'humanité ne peut voler avec une seule aile.Si elle essaie de voler avec l'aile de la religion seulement, elle atterrira dans le marécage de la superstition; si elle essaie de voler avec l'aile de la science seulement, elle finira dans la frontière désespérante du matérialisme.." Causerie d'Abdul'Bahá à Paris.

En passant devant chez la voisine, Ako s'arrête net. Dans le jardin,  le manguier est un vrai feu d'artifice ! Jaune, vert, orange, rouge !

les fruits sont mûrs à point et les branches chargées comme un ciel d'orage.

Peut-on fonder une morale sur la base de la méthode et des connaissances scientifiques ? Oui ! répond Sam Harris célèbre nouvel athée, dans son livre paru en 2010, A Moral landscape. Ian Kluge reprend ses arguments pour démontrer leurs faiblesses et s’inspire des écrits bahá’ís pour établir l’impossibilité intrinsèque de baser sur la seule science les fondements d’une éthique pour tous.

Né le 1er mars 1897 dans la citadelle prison d’Acre, Shoghi Effendi est le fils de Díyá’iyyih Khanum Aghsán et de son mari Mírza Hadí Shírází Afnán ; il appartient donc à la descendance de Bahá’u’lláh  par sa mère et à la famille du Báb  par son père. Il est le petit-fils de ‘Abdu’l-Bahá. C'est son épouse Rúhíyyíh Khánum qui partage avec nous les derniers jours du bien-aimé Gardien Shoghi Effendi.

Des chrétiens, à titre individuel, peuvent reconnaître la na ture inspirée des fondateurs de religions non-chrétiennes, mais les adhérents des branches principales du christianisme sont unis dans la croyance que le Christ n’a pas d’égal. Cette conviction du caractère unique de Jésus est de venu la forteresse imprenable de la croyance chrétienne. Pourtant, cette croyance est le produit de dével...

Méthodes utilisées par la communauté mondiale bahá’íe dans la résolution des problèmes de développement socio‑économiques

la Maison Universelle de Justice a préparée cette compilation rassemblant les directives et les instructions contenues dans les lettres écrites par elle ou de sa part, traitant des problèmes rencontrés par les assemblées spirituelles nationales pour assurer une administration correcte des fonds de la foi.

Comme le champ des activités et des projets dans lesquels la communauté baha’ie s’engage continue nécessairement à s’étendre et à se diversifier, la Maison de Justice croit qu’il est essentiel que les enseignements moraux et éthiques de notre foi ne soient ni négligés ni considérés par méprise comme ayant une importance moindre que nos enseignements sociaux, administratifs et métaphysiques.

La Maison Universelle de Justice espère qu'une étude de cette compilation servira à galvaniser et à guider le développement futur de l'érudition bahá'ie, et qu'une lecture attentive de son contenu dévoilera les caractéristiques uniques de cet aspect vital de l'activité bahá'ie.

Les religions révélées monothéistes sont considérées par beaucoup comme la source de la violence religieuse dans le monde. Croire en un dieu unique c'est croire qu'il est le seul vrai. En conséquence, c'est croire que les autres sont faux. L'auteur montre qu'une religion révélée monothéiste, la foi baha'ie, en poussant jusqu'au bout la logique de cette affirmation : Dieu est inconnaissable dans son essence, arrive à créer un champ de tolérance et d'acceptation de la diversité des pensées et des opinions trouvé rarement ailleurs.Ainsi, l'important ne serait pas ce que l'on croit mais comment on croit.