Livres

John Birks «Dizzy» Gillespie était un musicien de jazz qui a lancé un nouveau style de musique jazz, connu sous le nom de bebop, dans les années 1940. Ce livre en anglais , écrit pour les jeunes, raconte la vie de Dizzy, en commençant par son enfance en Caroline du Sud, son déménagement à New York et ses éventuels voyages à travers le monde. Dizzy Gillespie est devenu bahá'í en 1968 et s'est efforcé d'être au service des autres grâce à son don unique en musique.

« C’est durant son exil de dix ans à Bagdad que Bahá’u’lláh commença à relever la communauté bábíe des abîmes de détresse dans lesquels elle était tombée. C’est de là que partirent les premières émanations d’une révélation qui, dans son ampleur, dans sa variété des sujets abordés, dans son volume et dans sa force irrésistible allait surpasser celle même du Báb. » (Shoghi Effendi). C’est parmi l...

Le présent volume propose la traduction française de la première collection normative en langue anglaise de tous les écrits importants de Bahá'u'lláh aux rois et dirigeants du monde de l'époque.

Des chrétiens, à titre individuel, peuvent reconnaître la na ture inspirée des fondateurs de religions non-chrétiennes, mais les adhérents des branches principales du christianisme sont unis dans la croyance que le Christ n’a pas d’égal. Cette conviction du caractère unique de Jésus est de venu la forteresse imprenable de la croyance chrétienne. Pourtant, cette croyance est le produit de dével...

Dans cet écrit, Shoghi Effendi présente la dispensation du Báb et de Bahá'u'lláh. Il décrit la place de Abdu'l-Bahá dans cette dispensation. Puis, il révèle l'importance de l'Ordre Administratif Bahá'i.

Dizzy Gillespie, musicien de jazz de génie et grand humaniste

Dans ce numéro, nous nous sommes penchés sur la problématique de l'éducation des enfants et des jeunes.

Comme d'habitude, les textes sont enrichis par une sélection d'Écrits bahá'is.

Grâce aux moyens actuels de communication et d'action, la vision planétaire s'accentue et se précise. Le sentiment d'un vaste chantier où l'être humain est chahuté de toute part nous donne l'occasion de retrousser les manches et la chance inouïe de participer au réaménagement général... Parce qu'il faut repenser le monde sur la base  du respect.

Le racisme, un sujet qui semble aussi vieux que l'humanité, du moins depuis que les hommes ont commencé à voyager et à rencontrer des peuples différents d'eux-mêmes.Il s'agit en fait de la peur évidente devant l'inconnu. Ceux qui découvraient d'autres peuples avaient deux possibilités: faire connaissance et devenir ami avec l'autre, ou l'écraser, le soumettre et l'annexer.

Argent, richesse et pauvreté, voici des mots ô combien d'actualité.

L'argent mal utilisé et mal partagé est une source d'injustices et de crises profondes. Un monde où le fossé entre riches et pauvres s'élargit est la preuve d'une injustice fondamentale qui entraîne de graves troubles sociaux.

Réconcilier la science et la religion, n'est-ce pas le défi du XXIe siècle ?

"L'humanité ne peut voler avec une seule aile.Si elle essaie de voler avec l'aile de la religion seulement, elle atterrira dans le marécage de la superstition; si elle essaie de voler avec l'aile de la science seulement, elle finira dans la frontière désespérante du matérialisme.." Causerie d'Abdul'Bahá à Paris.

2012, selon une prophétie des Aztèques, correspondrait à la fin du monde! Quelle crédibilité donner à cette annonce? Que comprendre? Quel est l'avenir de l'humanité? Ne devrions-nous pas plutôt accorder plus attention et de crédit au message d'unité, de justice et de paix de Bahá'u'lláh, celui dont toutes les prophéties des religions du monde prophétisent la venue?