Livres

Selon la conception bahá'íe, la diversité n'est pas en elle-même une cause de conflit. La diversité au contraire est enrichissante. La persistance de cette mosaïque de peuples minoritaires dans le monde est une ressource qui peut, si l'on sait s'en servir, faciliter grandement la transition de l'adolescence de l'humanité vers sa maturité : unité dans la diversité !

Compilation de textes de la Maison universelle de justice dans le cadre du plan de 9 ans 2022-2031 comprenant entre autres les messages de Ridván 2021 et 2022 et autres messages depuis 2020.

Bahá'u'lláh, accompagné d'un serviteur, s'est rendu dans les montagnes du Kurdistan lorsqu'il était en exil en Irak. Il était connu par les habitants de Sulaymanieh comme le Darwish Mohammad. Lorsque les mystiques ont eu connaissance de sa présence dans leurs réunions, ils ont été émerveillés par ses discours et ses déclarations. Ils lui demandèrent un jour d'écrire un poème rimant avec la "Taeyat" d'Omar Ibn Al-Fared. Il répondit à leur demande et dicta pas moins de 2000 vers à la même rime d'Ibn Al-Fared. Il en a choisi 127 pour les conserver auprès des personnes qui ont demandé à les acquérir.
Bahá'u'lláh a ajouté les mêmes contenus et explications en persan et en arabe à certains des mots et des vers du poème.

Les poèmes de prison de Mahvash Sabet sont rassemblés dans un beau livre intitulé : "Souviens-toi de moi". Les poèmes sont de styles différents et révèlent les sentiments subtils et profonds de la poétesse.

Les avant-propos sont rédigés par Mahnaz Parakand et Shahpour Rassekh. Le livre comporte huit chapitres et contient un CD avec sept poèmes sélectionnés, écrits par Mahvash Sabet et arrangés par de jeunes musiciens iraniens.

Ce recueil de poèmes réunit les écrits de Mahvash Sabet, membre de la communauté bahá'ie d'Iran, qui fut condamnée en 2010, avec six de ses compagnons, à vingt ans d’emprisonnement pour seul motif d’être baha’ie.

Elle écrit des poèmes pour tenir debout, une façon de parfumer son pain quotidien au goût de camphre, pour s’exprimer quand il faut se taire, parler quand personne ne l’écoute.

Les femmes occidentales ont toujours été au premier rang de l'enseignement de la foi baha’ie. Ici se trouve un bref portrait de sept femmes dont les services à la cause de Baha’u’lláh embrassa tout le vingtième siècle. Emogene Hoagg, Claudia Coles, Anna Kunz, Amelia Collins, Kate Dwyer, Ella Bailey, Ella Quant ont voué leur vie à la promotion et au développement de la Foi qu’elles aimaient.

C'est l’histoire de Musonda, une jeune fille qui vient d’avoir 13 ans, et de sa cousine qui est venue passer les vacances chez elle. Le thème présent est : faire un effort et recevoir les confirmations d’en haut.Des mots plus ou moins difficiles utilisés dans différents contextes permettent de développer le vocabulaire et renforcer les compétences en lecture.

Lueurs d'espoir raconte l'histoire de Kibomi, un jeune de 12 ans originaire d'un petit village d'Afrique, qui entame un périple pour retrouver sa soeur. Tout au long de son voyage, Kibomi a de nombreuses fois l'opportunité d'analyser les courants sociaux dominants et commence à voir les implications de ses choix.

Lueurs d'espoir s'efforce de répondre aux besoins des jeunes de 11 à 15 ans.

Les histoires ont toujours constitué un moyen de transmettre des concepts moraux d’une génération à l’autre. Marcher sur le droit sentier puise dans cette tradition en compilant vingt histoires de cultures différentes. Chaque histoire est relativement courte et suivie d’une série d’exercices créés pour approfondir la compréhension, enrichir le vocabulaire, et faire valoir le raisonnement moral.

l'Institut Ruhi a accordé une importance particulière aux jeunes de 12 à 15 ans et s'est efforcé de comprendre la dynamique de maintien de petits groupes au niveau local, qui offrent aux jeunes un cadre dans lequel ils peuvent discuter d'idées et se forger une identité morale forte.

Le livret préjeune ‘Les rayons de lumière’ est l'un des éléments qui a émergé à la suite de cette expérience. Dans une série de conversations centrées sur les écrits et les discours de 'Abdu'l-Bahá, un groupe de jeunes explore des principes fondamentaux de la foi qui servent à éclairer le chemin de l'humanité. Parmi ces principes figurent la recherche indépendante de la vérité, l'harmonie de la science et de la religion, l'élimination de toutes les formes de préjugés, l'égalité des hommes et des femmes.

Alors que la Première Guerre mondiale touche à sa fin, Shoghi Effendi, jeune diplômé de l'Université américaine de Beyrouth, retourne à Haïfa, en Terre Sainte, pour se mettre au service de son grand-père bien-aimé, 'Abdu'l-Bahá, le chef de la foi bahá'íe. De la fin de 1918 au milieu de 1920, Shoghi Effendi devient le secrétaire en chef et le traducteur de la volumineuse correspondance de 'Abdu'l-Bahá avec les bahá'ís des pays occidentaux, de l'Inde et du Japon, et accompagne 'Abdu'l-Bahá dans ses réunions à Haïfa et à 'Akká avec des fonctionnaires, des demandeurs et des pèlerins. Tout cela le préparait à diriger la croissance et le développement de la foi bahá'íe en tant que gardien, une responsabilité qui lui serait confiée à la mort de 'Abdu'l-Bahá.